Aujourd’hui, malgré l’engagement de nos policiers et de nos gendarmes, certains de nos concitoyens sont en perte de confiance en la capacité de l’État à les protéger. L’insécurité ressentie par nos concitoyens provient autant de la menace terroriste que des infractions commises au quotidien. Le ministre de l’Intérieur a demandé le 28 octobre 2017 aux préfets d’organiser une concertation dans leurs départements respectifs autour de la Police de Sécurité du Quotidien.
Pour participer à l'enquête en Meuse, vous pouvez donner votre avis à travers le questionnaire du 16 novembre au 3 décembre 2017 en cliquant ici.